Leçons de vie

La vie est une école. Les difficultés sont là pour apprendre. A chaque leçon apprise, la douleur disparaît. On ne peut connaître le bonheur sans traverser des périodes difficiles. La souffrance est un cadeau qui a sa raison d’être. Il n’y a pas de hasard. L’évolution est la seule raison d’être de notre existence.
Tout au long de notre vie, nous recevons des indices sur la voie à suivre, il faut y prêter attention. Nous avons la responsabilité de prendre un nombre très important de décisions.
 
Prière des Alcooliques Anonymes : « Mon Dieu,
-         donnez-moi la Sérénité d’accepter les choses que je ne puisse changer,
-         le Courage de changer les choses que je peux,
-         et la Sagesse d’en reconnaître la différence. »
« Vis sans éprouver le regret vis à vis du passé et en ayant la certitude que tu n’as pas perdu ton temps. Vis de telle manière que tu n’aies pas à regretter ce que tu as fait. Vis pleinement et honnêtement ta vie. Vis ! »
 
La vie est un défi, pas une tragédie. Il n’y a rien à craindre de la mort. Elle peut être l’expérience la plus extraordinaire de sa vie. Cela dépend de la manière dont on conduit son existence maintenant. La seule chose qui importe est l’amour inconditionnel. Pour cela, se débarrasser de sa négativité et de tous ses problèmes non résolus. 

Il y a en chacun de nous un potentiel de bonté qui dépasse notre imagination. Nous sommes capables de donner sans rien attendre en retour. Nous sommes capables d’écouter sans juger.
 
Notre présent dépend de notre passé, et notre avenir du présent.
 
La vie s’achève lorsque l’on a appris tout ce que l’on est supposé apprendre. Mettre volontairement un terme à sa vie est inconcevable. Celui qui se suicide cherche peut-être à échapper à une leçon qu’il se devrait d’apprendre. Alors, au lieu de passer en classe supérieure, il devra redoubler pour apprendre enfin sa leçon.
 
Avez-vous éprouvé de l’amour pour vous-même aujourd’hui ? Apprenons à nous aimer nous-mêmes, à nous pardonner, apprenons la compassion et la compréhension.
 
Tous les mourants savent qu’ils vont mourir. La question n’est pas s’il faut lui dire la vérité de son état, mais « comment lui dire la vérité ». La mort n’est pas un échec mais un aspect naturel du cycle de la vie. Il ne faut pas chercher à protéger le mourant mais partager franchement et ouvertement son angoisse et son chagrin.
La mort n’existe pas. Après la mort physique, le corps éthérique est libéré, puis celui-ci est aussi quitté pour ne rester que la pure énergie spirituelle jusqu’à la prochaine réincarnation. Les futures générations devraient célébrer le passage dans l’au-delà et pleurer la naissance, car le nouveau né devra affronter les épreuves de la vie encore une fois.
 
Au lieu de vivre dans la peur, découvrir son moi profond et percevoir la vie comme un combat où les choix les plus difficiles sont aussi les plus élevés. Nous avons le libre arbitre. Il n’y a pas de hasard. Il y a une raison positive derrière tout ce qui nous arrive. Le paradis ou l’enfer sont seulement la suite logique de la vie menée.
 
On ne peut pas guérir le monde tant que l’on est pas guéri soit même.
 
A la naissance, nous sortons de la source, dotés d’une parcelle de divinité. Chacun est béni et guidé. Vivre pleinement jusqu’à la mort. Faire ce que l’on aime pour accomplir ce pour quoi nous sommes venus. La mort n’est qu’une transition. L’amour permet de tout supporter. Seul l’amour est éternel…
 
Elisabeth Kübler-Ross. Mémoires de vie, mémoires d’éternité 1997.
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